Dans toutes les subtilités de nos breuvages de
terroir sont inscrits les infusions d'herbes, de plantes, ou de fleurs
en tous genres.
Parmi elles se trouvent toutes les plantes de la famille des Termitis Pellere,
autrement dit, celles qui ne tolèrent que la terre environnant les
tertres du royaume, vestiges d'anciennes cryptes ou temples...
Une hypothèse s'est construite au fil des siècles : Ces plantes poussent là où les morts garnissent le sous sol...
Certaines
légendes racontent que les morts, enfouis sous les tertres, font
pousser des plantes les empêchant de pourrir au dessus-même de leurs
tête, les racines sortiraient donc du sol, en effet, ces herbes ont
l'aspect terreux et charnu d'une racine d'arbuste.
Aujourd'hui
les apothicaires de la Capitale savent préparer des onguent pour calmer
les douleurs cutanés vives, comme les brûlures ou les écorchures grâce
au Tertre Beaulgélien.
Mais si l'on sort de ce petit côté ésotérique, on appréciera vite le goût si particulier des Termitis Pellere.
Les
cultures d'herbes les plus proches de Draul sont colonisées par la
variété du Tertre Beaulgélien, particulièrement terne, mais qui fit
autrefois l'apaisement des guerriers revenant de la bataille, qui
buvaient à grande gorgées le breuvage leur rappelant la fierté de leurs
ancêtres, en paix sous les tertres.
Cependant, si ces plantes
sont appréciée dans la région, on n'oubliera pas leur potentiel pouvoir
psychotrope...En effet, passée une certaine dose (importante), ces
plantes ont la propriété de donner maux de tête et hallucinations aux
victimes de la forte concentration en Malgas des mixtures alors appelées
drogues, préparées à base de Tertre Beaulgélien.
L'anecdote
surprenante qui vient est que, via le folklore Thirien instauré depuis
des siècle autour de ces morts mangeurs de racines, lorsque l'on ingère
trop de racine de Tertre nos ancêtres nous parleraient depuis les
catacombes mêmes. D'ailleurs, le peuple Voodoo communique ainsi avec
leurs morts via des rituels impliquant l'ingestion de Malgas.
terroir sont inscrits les infusions d'herbes, de plantes, ou de fleurs
en tous genres.
Parmi elles se trouvent toutes les plantes de la famille des Termitis Pellere,
autrement dit, celles qui ne tolèrent que la terre environnant les
tertres du royaume, vestiges d'anciennes cryptes ou temples...
Une hypothèse s'est construite au fil des siècles : Ces plantes poussent là où les morts garnissent le sous sol...
Certaines
légendes racontent que les morts, enfouis sous les tertres, font
pousser des plantes les empêchant de pourrir au dessus-même de leurs
tête, les racines sortiraient donc du sol, en effet, ces herbes ont
l'aspect terreux et charnu d'une racine d'arbuste.
Aujourd'hui
les apothicaires de la Capitale savent préparer des onguent pour calmer
les douleurs cutanés vives, comme les brûlures ou les écorchures grâce
au Tertre Beaulgélien.
Mais si l'on sort de ce petit côté ésotérique, on appréciera vite le goût si particulier des Termitis Pellere.
Les
cultures d'herbes les plus proches de Draul sont colonisées par la
variété du Tertre Beaulgélien, particulièrement terne, mais qui fit
autrefois l'apaisement des guerriers revenant de la bataille, qui
buvaient à grande gorgées le breuvage leur rappelant la fierté de leurs
ancêtres, en paix sous les tertres.
Cependant, si ces plantes
sont appréciée dans la région, on n'oubliera pas leur potentiel pouvoir
psychotrope...En effet, passée une certaine dose (importante), ces
plantes ont la propriété de donner maux de tête et hallucinations aux
victimes de la forte concentration en Malgas des mixtures alors appelées
drogues, préparées à base de Tertre Beaulgélien.
L'anecdote
surprenante qui vient est que, via le folklore Thirien instauré depuis
des siècle autour de ces morts mangeurs de racines, lorsque l'on ingère
trop de racine de Tertre nos ancêtres nous parleraient depuis les
catacombes mêmes. D'ailleurs, le peuple Voodoo communique ainsi avec
leurs morts via des rituels impliquant l'ingestion de Malgas.
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